WORLDWIDE FESTIVAL
Vendredi 9 juillet 2010
Dans un théâtre de la mer archicomble, Poly-Rythmo a tenu ses promesses. Un groupe super rodé, puissant qui enchaîne nouveaux titres et morceaux connus avec brio et générosité.
Le public comptait des européens de toutes nationalités et de tous les ages. Les musiciens ont fait vibrer ce public qui dansait à quelques centimètres de la scène et dans les gradins face à la mer.
Un flamboyant concert !
NIGHT SUNSHINE
AFRO-LATIN GREAT AMBIANCE ! Avec Elodie Maillot (manageuse) et Clémentine (agent du groupe) au second plan qui dansent et plaisantent.
SETE EN FETE
PSYCH-AFRO-FUNK ...et leur vaudou est tellement puissant qu'ils ont fait tomber la pluie ! Une bonne grosse averse qui a déchainé la foule heureuse d'une fraîcheur si bienvenue. La scène devient alors une fourmilière en pleine alerte sur "Gbeti Madjro" et tous les techniciens accourent protéger musiciens et matériels.
Rien que du bonheur avant de traverser l'Atlantique et de jouer pour la première fois sur le sol américain! Voilà ce que New York a pu voir et entendre deux jours plus tard, merci beaucoup *****joseline1975*****
Please check the New York Times music review:
Orchestre Poly-Rythmo de Cotonou, from Benin, belongs on the very short list of the world’s greatest funk bands. More than four decades into its career, most of them spent touring Benin and nearby West African countries, the 10-man orchestra made its blistering North American debut on Sunday night at the Gerald W. Lynch Theater at John Jay College as part of the Lincoln Center Festival. Its founder and one of its main composers, Clément Mélomé, was on saxophone...
Read the continuation of *****Jon Pareles***** article:
Et l'excellent travail de *****Joël Vacheron*****:
vibrationsmusic.com rencontre Pierre et Vincent de Poly-Rythmo
interview du 29 juin 2010
Photo: Joël Vacheron
Redécouvert en grande partie grâce des compilations, le T. P. Orchestre Poly-Rythmo de Cotonou s’offre une seconde adolescence avec une tournée mondiale et de nouvelles sorties en préparation. Pierre (Saxophone) et Vincent (Chant) reviennent sur l’épopée du Tout Puissant Orchestre à l’heure des commémorations d’indépendances et du regain d’intérêt sans précédent que connaissent les productions funk en provenance d’Afrique de l’Ouest.
Comment a commencé l’aventure du T.P Orchestre Poly-Rythmo de Cotonou où vous produisiez-vous?
Vincent: L’histoire a débuté petitement à partir d’un orchestre qui s’appelait Sonny Black’s Band. Son propriétaire, qui était marié à une Française et devait retourner en France, l’avait cédé à un compatriote qui possédait une société dénommée Poly-Disco. Lorsqu’il a renommé l’orchestre, il désirait garder un nom qui soit proche de sa raison sociale. C’est comme ça que le groupe a vu le jour sous le nom de Poly-Rythmo. À l’origine, il était composé de huit personnes et le groupe s’est peu à peu entouré d’autres instrumentistes. Les discothèques sont nées en grande partie grâce à Poly-Rythmo et nous nous produisions un peu partout, mais notre lieu de prédilection était sans conteste le Zénith. Un bar dancing dans lequel nous jouions tous les samedis et dimanches. C’était un lieu sacré qui, aujourd’hui encore, fait la fierté du Bénin. Les gens sont nostalgiques de cet endroit, ils voudraient bien revoir un autre zénith maintenant que le Poly-Rythmo est en train de faire le tour du monde. Il faut qu’on s’y mette vraiment pour le créer notre Zénith… Sinon, on jouait un peu partout pour des mariages, des fêtes diverses, les anniversaires officiels, etc. On était plus avec le gouvernement de l’époque et il n’y avait aucune manifestation pour laquelle nous n’étions pas sollicités. D’ailleurs, on nous appelait orchestre national, alors que nous ne l’étions pas…
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